Former l’éducateur sportif de demain

La stratégie de formation

Une stratégie de développement méthodique et qualificatif de formation vers l’emploi

La loi n° 2018-771 du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel prévoit dans son article 6 une obligation de certification, par un organisme tiers, des organismes réalisant des actions concourant au développement des compétences sur la base d’un référentiel national unique, s’ils veulent bénéficier de fonds publics ou mutualisés (financement par un opérateur de compétences, par la commission mentionnée à l’article L. 6323-17-6, par l’État, par les régions, par la Caisse des dépôts et consignations, par Pôle emploi ou par l’Agefiph). 

Depuis Juin 2021, COGITO est  certifié QUALIOPI pour 3 ans. Cette marque vise :

  • à attester de la qualité du processus mis en œuvre par les prestataires d’actions concourant au développement des compétences ;
  • permettre une plus grande lisibilité de l’offre de formation auprès des entreprises et des usagers.

Ainsi, Notre exigence de formation à pour finalité l’accès à l’emploi. En outre, notre développement stratégique vers des formations BPJEPS APT s’est construit en fonction de notre expertise dans le domaine de l’enseignement sportif.  

La connaissance du monde économique, éducatif, et social  du sport et de l’enseignement comme point d’appui 

COGITO est la vision partagée d’un monde de l’éducation où l’humain est au cœur de sa formation.
En s’appuyant sur un parcours de formation novateur, fondé sur le projet personnel de l’individu, nous proposons une ingénierie de  formation engageant l’individu dans une relation one to one  : un formateur disponible pour tout apprenant.
Dirigé par deux fondateurs issus du monde associatif, sportif et de l’enseignement, l’organisme COGITO repose sur le principe qu’une personne se construit à l’aide d’autrui car nous sommes interconnectés. 

Michael Fouque  – Fort de son expérience managériale dans différents secteurs économiques, il a toujours eu comme double  mission : de recruter et de former ses équipes  pour les faire évoluer. 

Ludovic Fortes  – Depuis plus de vingt ans,  il travaille dans le monde de l’éducation. Enseignant d’EPS, responsable associatif USEP et surtout formateur BPJEPS pendant plus de 10 ans, il a toujours eu la volonté de créer un projet tourné vers l’accès à l’emploi. Sa double expérience en tant que  formateur et enseignant  s’est avérée précieuse  pour mener le projet COGITO .

Le sport : des enjeux d’emploi, de relance, de formation

L’organisation de nombreux grands événements, le développement des pratiques sportives et de la consommation de biens et services sportifs ont soutenu la croissance de l’emploi sportif francilien depuis plusieurs décennies. La crise sanitaire conduit, depuis 2020, à l’arrêt ou à la limitation de nombreuses activités sportives et bouleverse cette tendance sans que l’on puisse dès à présent quantifier les suppressions d’emplois ou d’établissements. 

À moyen terme, les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 pourraient à l’inverse constituer un levier de développement économique et favoriser la pratique sportive.
Plus de la moitié des Franciliens s’adonnent à une activité sportive au moins une fois par semaine, un niveau de pratique identique à celui de l’ensemble des Français.
Ces pratiques, qu’elles soient au sein de structures dédiées (dont les associations) ou en autonomie, génèrent des activités économiques et des emplois, en premier lieu pour les organiser (encadrement, gestion des équipements…) mais aussi dans les activités en amont que sont la fabrication et la vente d’articles de sport .
 

L’Île-de-France est la dernière région de France métropolitaine en matière d’équipements sportifs, avec 23 équipements sportifs pour 10 000 habitants (moyenne nationale à 41). Cela tient en partie à la forte densité de population et à un manque de foncier disponible. De plus, les espaces sportifs ne se cantonnent pas à ces structures : les Franciliens pratiquent à la fois au sein d’installations sportives (62 %) et dans l’espace public urbain ou naturel (57 %).

Pour devenir un professionnel du sport et de l’animation

En fonction du métier et de la spécialisation souhaités, trois types de parcours sont proposés pour devenir animateur ou éducateur :

  • obtenir un diplôme d’État délivré par le ministère des Sports, tel un brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport (BPJEPS). Ces diplômes se préparent au sein d’un organisme de formation privé ou d’un centre de ressources, d’expertise et de performance sportives (CREPS) ou d’un centre de formation d’apprentis ;
  • obtenir un diplôme fédéral, via les fédérations sportives ;
  • suivre un cursus universitaire, dans la filière Sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS) par exemple.

Une bonne insertion professionnelle des diplômés du BPJEPS

Commun au sport et à la jeunesse, les brevets professionnels de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport (BPJEPS) constituent le cœur des diplômes délivrés par les directions régionales de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale (DRJSCS). Ce sont des diplômes d’État, de niveau baccalauréat et qui attestent de la possession des compétences professionnelles indispensables à l’exercice du métier d’animateur ou d’éducateur sportif.
En 2016, la formation BPJEPS s’est réformée, afin de renforcer la lisibilité des filières professionnelles. Deux spécialités bien distinctes, celle d’« animateur » et celle d’« éducateur sportif », remplacent ainsi les 28 spécialités d’origine. Ces dernières deviennent des mentions (activités équestres, nautiques, animation culturelle, loisirs pour tous, etc.).

Par exemple : 

  • Entre mai 2016 et avril 2017, 1 186 personnes ont obtenu un BPJEPS en Occitanie.
  • Début 2018, soit au moins neuf mois après leur sortie de formation, 76 % des diplômés d’un BPJEPS « animateur » et 71 % d’un BPJEPS « éducateur sportif » sont en emploi.
  • 8 sur 10  exercent une activité en lien direct avec la formation.
  • La moitié des diplômés ont moins de 25 ans et un tiers entre 30 et 49 ans.
    L’étendue des âges s’explique par des parcours différents. Certains sont des jeunes sortant de formation initiale, d’autres plus âgés, s’orientent vers un BPJEPS après un diplôme du supérieur ou dans le cadre d’une reconversion professionnelle. À l’entrée de la formation, 45 % étaient déjà en emploi, 34 % étaient demandeurs d’emploi et 17 % étudiants ou en service civique.

C’est dans cette perspective que le projet de formation BPJEPS APT de COGITO s’est construit méthodiquement en s’appuyant sur l’analyse du secteur de l’emploi dans le sport et la mise en place d’une formation optimisée pour les  éducatrices et éducateurs de monde sportif français de demain

Triple axe de formation

SECURISER L'EMPLOI
DEVELOPER LA POLYVALENCE

 

 

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L'ANCRAGE LOCAL

Axe stratégique 1: Sécuriser l’emploi par une formation individualisée et prospective 

Le sport comme axe de relance de l’emploi

Données INSEE

L’emploi dans le monde sportif en france

Observés sur une période de 5 ans, un quart des animateurs socio-culturels et quatre moniteurs, éducateurs sportifs ou sportifs professionnels sur dix exercent toujours le même métier. Les durées de carrière apparaissent relativement brèves dans ces métiers, pour des professionnels plutôt jeunes par ailleurs. Les contrats courts s’avèrent fréquents et répétés : 45 % des moniteurs et éducateurs sportifs et 37 % des animateurs socioculturels sont encore en CDD au bout de 5 ans. Pour certains, les passerelles vers d’autres professions assurent un maintien dans l’emploi, voire une évolution professionnelle. Elles permettent d’augmenter le temps de travail, donc la rémunération, et impliquent dans certains cas une mobilité géographique. Ainsi, différents parcours professionnels se dessinent : des trajectoires heurtées alternant passages épisodiques dans ces métiers, CDD et périodes de chômage indemnisé, et des parcours plus stables, CDI ou fonction publique.

Les trajectoires professionnelles des salariés dans les métiers du sport et de l’animation reflètent une diversité de situations tant dans la stabilité dans la profession, que dans le type de contrat ou de condition de travail (figure 1). Elles permettent d’appréhender les enjeux de sécurisation des parcours, de développement d’une offre de formation et d’accompagnement à la pérennisation de l’emploi. 

L’emploi dans le monde sportif en Ile-de-France

En 2017, l’Île-de-France rassemble 19 % des emplois sportifs français, répartis entre organisation des pratiques sportives et activités en amont de celles-ci. Avec 6 600 établissements employeurs, la filière du sport dégage une richesse évaluée à 1,9 milliard d’euros, soit 0,5 % de l’économie francilienne. La présence de nombreux sièges de fédérations et de grands clubs sportifs conduit Paris à concentrer plus d’un tiers des emplois sportifs franciliens. En dix ans, la croissance de ces emplois (+ 2,6 %) a été soutenue par le développement des métiers de moniteurs et éducateurs sportifs. Les conditions de travail sont toutefois moins favorables dans ces métiers. En outre, le salaire net horaire médian de la filière est plus faible que dans l’ensemble de l’économie francilienne.

Plus de 84 000 emplois dans la filière du sport en Ile-de-France

L’emploi salarié dans le sport – un exemple français 

La demande croissante de la population en matière d’activités physiques et de loisirs dynamise l’emploi des métiers du sport et de l’animation, en particulier dans la sphère marchande en constante progression. En 2015, près de 28 000 néo-aquitains occupent un emploi salarié dans ces métiers : 50 % comme animateurs socioculturels et de loisirs, 35 % comme moniteurs, éducateurs sportifs ou sportifs professionnels et 15 % comme cadres de l’intervention socio-éducative ou directeurs de centres socioculturels. L’activité non salariée se développe également, essentiellement dans le domaine du sport. 

Une formation prospective 

En s’appuyant sur l’ensemble de ces données et après deux années de pandémie dans un contexte de déficit de lien social, de nombreuses études et débats ont mis  en exergue l’importance des pratiques sportives. L’activité physique ne se résume pas à une dépense énergétique et métabolique. La reprise des sports favorise non seulement la santé physique mais aussi le bien-être psychologique  et notamment le besoin de vivre ensemble. Les français ont envie  de  “bouger et partager”. 

Ce projet s’intègre au contexte actuel et s’applique à être dans une démarche prospective de l’emploi de demain en proposant : 

  • une équipe de formateurs en activité qui crée un lien permanent entre les contenus théoriques et pratiques. 
  • des projets de formation réalisés avec le centre COGITO  en partenariat avec des acteurs locaux du monde associatif, sportif et scolaire permettant aux stagiaires de s’intégrer dans le tissu local, économique, sportif. 

Une formation individualisée et active

Notre projet de formation place le stagiaire comme acteur de son apprentissage afin d’individualiser au maximum les contenus.

Grâce à notre réseau de partenaires, le stagiaire est placé au cœur d’un échange pédagogique mêlant les contenus didactiques et l’animation pratique.

Nous offrons un cadre d’expérience pratique et unique afin que chaque stagiaire se confronte à tous les publics : 

  • interventions en milieu scolaire et périscolaire pour le public enfant
  • Animation événementielle,
  • interventions avec des adultes,
  • interventions avec des publics spécifiques,

Cet échange pédagogique permanent (feed-back) entre la pratique et la théorie en organisme de formation est la meilleure garantie pour une formation équitable et commune à l’ensemble de stagiaires.

Cette stratégie de formation a pour objectif d’amener chaque stagiaire à avoir les connaissances et compétences requises pour mettre en œuvre en autonomie et en sécurité dans le domaine des « activités physiques d’entretien corporel », des « activités et jeux sportifs » et des « activités physiques en espace naturel » les compétences suivantes : 

– encadrer des groupes et conduire des actions d’animation des activités physiques pour tous ; – organiser et gérer des activités physiques pour tous ;

– communiquer sur les actions de la structure ;

 – participer au fonctionnement de la structure organisatrice des activités physiques pour tous.

Axe stratégique 2: Développer l’éducateur sportif plurivalent

Depuis 2021,  la France se dote  d’une loi sur le sport.
Elle porte sur trois volets : 

  • développer la pratique du sport, 
  • rénover la gouvernance des fédérations sportives,
  • et assurer un modèle économique vertueux au secteur. 

En parallèle, la réforme de Janvier 2021 portant sur l’évolution de l’organisation territoriale des ministères chargés de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’innovation et visant à améliorer la gouvernance territoriale des politiques publiques dont ils ont la charge pour assurer un meilleur service aux usagers rendre en vigueur.

Cette réforme a pour but la cohérence des services publics et donc pour apporter un meilleur service aux élèves, à leur famille et aux étudiants, il est nécessaire de mettre en cohérence l’organisation des services déconcentrés de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, avec les nouveaux périmètres régionaux issus de la réforme territoriale de 2015. Elle avait créé 13 régions métropolitaines et avait conduit à la mise en place d’une organisation adaptée des collectivités régionales et des services déconcentrés de l’État en région hors services des ministères chargés de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. 

C’est important, d’abord pour que l’éducation, définie comme politique prioritaire par le Gouvernement, soit reconnue comme telle par tous les acteurs de l’État dans les territoires ; également pour garantir un dialogue efficace entre les services académiques et les autres acteurs du service public de formation, au premier chef les collectivités territoriales.

C’est dans ce contexte de rapprochement entre l’école et le monde  sportifs que nous définissons notre stratégie de formation en nous appuyant sur un réseau plurivalent.

Un réseau polyvalent et expérimenté 

Des métiers en forte expansion, un secteur en pleine mutation
Historiquement rattachés à l’emploi public et associatif, c’est désormais dans la sphère marchande que les métiers du sport et de l’animation assoient leur présence pour suivre les mutations du secteur. La demande sociale change : le sport santé et le sport bien-être se développent, les activités pour seniors aussi, la prise en compte du public handicapé s’améliore. Les pratiques se diversifient avec de plus en plus d’activités autonomes et non encadrées et la recherche d’une offre personnalisée. Les lieux d’exercice se multiplient, sur le lieu de travail, à domicile, en plein air ou dans des centres de remise en forme privés.Parallèlement, la mise en place en 2013 des projets éducatifs territoriaux dans le cadre de la réforme des rythmes éducatifs amplifie les besoins en professionnels qualifiés du sport et de – l’animation. Il s’agit de développer une offre d’activités périscolaires diversifiée, adaptée à la fois aux publics et aux territoires.

Dans cette perspective, notre projet de formation a pour objectif  de former des éducateurs capables de développer la pratique sportive pour le plus grand nombre. En outre, L’éducateur sportif de demain doit aussi inscrire son emploi dans les activités physiques et sportives parmi les missions d’intérêt général des établissements et services médico-sociaux (ESMS).

Ainsi notre formation s’entoure d’un réseau de professionnels et de partenaires en activité dans tous les domaines liés aux activités physiques : 

  • enseignement sportif scolaire : écoles, collèges, lycée
  • Animation sportive périscolaire : association intégrée dans les TAP de Paris
  • Animation physique pour tout public : Cité universitaire Sport, associations  sportives pour adultes.
  • événementiel sportif : participation aux événements associatifs ou du secteur marchand
  • activités de mobilité douce : accompagnement de projets scolaires “savoir rouler”
  • maison de santé ou enseignement d’activités physiques adaptées : rencontres et expérience avec des public spécifiques.

Notre formation veut répondre à ce besoin d’acquérir les compétences attendues dans toutes les familles d’APS du référentiel du BPJEPS APT et des méthodes plurivalentes pour adopter les connaissances  afin d’ animer les pratiques sportives de demain dans les domaines suivants: 

  • Les activités physiques d’entretien corporel. 
  • Les activités et jeux sportifs. 
  • Les activités physiques en espace naturel. 

En outre, de nombreux organismes qui dispensent la formation BPJEPS APT font appel à notre expertise et notre réseau pour certifier, pour encadrer et  pour enseigner  l’animation des APS pour tout public.
Ainsi, au regard de ces sollicitations, l’organisme COGITO souhaite confirmer son implication dans la formation et l’orientation vers l’emploi en proposant notre propre formation et nos capacités à mettre le stagiaire sur les rails de l’employabilité.

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Conseils et accompagnements

Axe stratégique 3: Un ancrage local pour répondre à la demande du territoire parisien.

Données INSEE

Paris, coeur d’emploi

Paris rassemble 36 % des emplois sportifs franciliens pour un cinquième de la population. Cela s’explique par la présence de nombreux sièges de grandes fédérations sportives (tennis, football, basket-ball), du Comité national olympique sportif français (CNOSF), de nombreux clubs et grands équipements.
En outre, à Paris, sont implantés de nombreux établissements de vente en articles de sport (Décathlon, Nike, Adidas…) qui emploient beaucoup de personnel. L’emploi sportif est davantage orienté à Paris vers les activités en amont que dans l’ensemble de la région (62 % contre 55 %).
À l’inverse, les Hauts-de-Seine sont sous-représentés par rapport à l’ensemble de l’économie (12 % des emplois sportifs régionaux contre 17 % de l’emploi total) et l’emploi sportif y est plus concentré sur l’organisation des pratiques (60 % des emplois sportifs).

À une échelle territoriale plus fine, sur les 63 établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) ou établissements publics territoriaux (EPT) d’Île-de-France, 14 concentrent 39 % de l’emploi sportif francilien. Ils sont surtout situés au cœur de la zone dense, dans les départements de petite couronne, avec une prolongation à l’ouest dans les communautés d’agglomération Versailles Grand Parc et Saint-Germain Boucles de Seine, ainsi que dans celle de Grand Paris Seine & Oise. Dans le sud de l’agglomération, figurent également Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart, Paris-Saclay et au nord, Roissy Pays-de-France.


Ces 14 territoires accueillent 45 % de l’emploi régional toutes activités confondues et 47 % de la population. Enfin, dans les autres EPCI, ayant moins de 1 000 emplois sportifs, l’emploi est majoritairement orienté sur l’organisation des pratiques sportives en réponse aux besoins de la population.

Une ressource pour le sport parisien : 

En terme d’emploi, Paris reste le cœur du sport français. Nous anticipons l’impact des événements à venir tels que la coupe du monde de Rugby en 2023 et les Jeux Olympiques et Paralympiques en 2024. Ils seront un nouvel élan du sport parisien  qui confortera cette dynamique. 
Dans cette perspective COGITO est intégré dans un réseau parisien et associatif fort. En effet, l’organisme est une ressource de formation pour l’Équipe de Développement Local de Paris (EDL). 
Les équipes de Développement Local sont chargées de la mise en œuvre de la Politique de la Ville dans les quartiers populaires.
En concertation avec les partenaires locaux, les équipes de Développement Local identifient les besoins des habitant.e.s des quartiers prioritaires et définissent les objectifs et actions à mettre en place pour répondre aux enjeux de lutte contre l’exclusion et pour lutter contre les inégalités territoriales. Elles accompagnent et coordonnent la mise en place de projets répondant aux besoins spécifiques de chaque quartier, en partenariat avec les associations et services publics des territoires.

En outre, notre projet de formation souhaite participer pleinement au développement social, écologique et économique  du territoire parisien notamment dans les quartiers dits “politique de la Ville”

Comme évoqué précédemment, le territoire parisien est  dynamique en terme d’emploi. COGITO s’implique dans Paris Nord et Ouest comme une véritable ressource pour les besoins des parisiens. Notre démarche veut répondre à des besoins réels en termes de formation, de relance économique et sociale de secteur demandeur.

Enfin, les collectivités telles que la DJS , les associations et le monde marchand du sport parisien sont en recherche constante d’éducateurs sportifs diplômés. 

Une ressource pour le diplôme vers l’emploi 

L’insertion professionnelle en Ile-de-France.

En Île-de-France, les jeunes de 15 à 29 ans sortis récemment de formation initiale sont en moyenne plus diplômés qu’en province, et bénéficient d’un marché du travail favorable, notamment en 2018. Ils sont donc plus nombreux à trouver du travail et obtiennent de meilleures conditions d’emploi. Néanmoins, si les jeunes franciliens ayant fait de longues études s’insèrent nettement mieux que leurs homologues provinciaux, les détenteurs du seul baccalauréat sont bien moins avantagés et occupent moins souvent des postes qualifiés que les titulaires d’un BEP ou d’un CAP. En Île-de-France comme en province, l’absence de diplôme pénalise les jeunes : un quart seulement de ces jeunes trouvent un emploi à leur sortie de formation.

En conlusion,

développons l’individu en lui offrant une formation complète et ouvert  !

Données INSEE
Des directeurs et des éducateurs de plus en plus diplômés.
Les conditions requises pour exercer ne sont pas les mêmes selon que l’on se destine à être animateur, éducateur ou directeur.
Les directeurs, qui occupent des postes de cadres, sont logiquement les plus diplômés : 64 % d’entre eux détiennent un diplôme d’études supérieures en 2016 soit 17 points de plus qu’en 2006. Pour être éducateur sportif ou animateur, plusieurs parcours sont possibles, dont certains ne nécessitent pas le baccalauréat. Néanmoins, être titulaire d’un diplôme de l’enseignement supérieur ou d’un diplôme d’État reste un préalable dans certains métiers.
Ainsi, 49 % des éducateurs ont un diplôme supérieur au baccalauréat. Leur qualification a beaucoup progressé (+ 12 points en dix ans). Plusieurs phénomènes peuvent expliquer cette évolution : la hausse des embauches de jeunes, plus diplômés que leurs aînés, ou le retour en formation pour se perfectionner de professionnels déjà en place dans le milieu du sport (par exemple un accompagnateur de moyenne montagne souhaitant devenir guide de haute montagne). Du côté des animateurs socioculturels, les bacheliers représentent un tiers des effectifs comme les diplômés d’études supérieures ; c’est quasi autant que dix ans auparavant.

Notre offre de formation vers un BPJEPS APT  serait un premier palier vers l’emploi. En proposant ce parcours, COGITO conforte son offre de formation tournée vers l’accessibilité au marché du travail.

Notre démarche se veut exponentielle dans l’offre de formations proposées afin de répondre à une exigence de diplôme accrue :

-> Habilitation sur 5 ans pour la formation BPJEPS APT,

-> Dans les 2 années à venir, proposer des certificats complémentaires qui nous paraissent les plus pertinents par rapport aux données extraites de l’INSEE: 

  • Direction d’un accueil collectif de mineurs 
  • Accompagnement et inclusion des personnes en situation de handicap
  • Développer et entreprendre dans le champ de l’encadrement sportif 

L’équipe de formateurs COGITO mise en place pour la session BPJEPS APT a les compétences requises pour développer une ingénierie pédagogique cohérente avec les différents référentiels.

-> Proposer aux stagiaires une offre de formation complète répondant à leurs attentes individuelles et aux besoins du secteur.
Rappelons que l’organisme  COGITO dispense des formations dans d’autres domaines qui peuvent être complémentaires au projet professionnel du stagiaire.
Par exemple : Compléter la formation des stagiaires volontaires avec  des parcours de formation en langues étrangères pour développer des compétences linguistiques.   

Pour conclure, après deux années de pandémie,  la stratégie de l’organisme de formation COGITO veut participer à  la relance économique et sociale en proposant l’expertise pédagogique, logistique et administrative de son équipe. 

En développant notre démarche qualité et notre ancrage local, nous souhaitons répondre aux besoins d’emploi dans le monde sportif parisien et d’Ile-de-France.
Ainsi, c’est en nous appuyant sur des données actualisées et affinées que nous sommes en mesure de prouver aujourd’hui l’existence de besoins non couverts par l’offre existante.

Notre formation possède, en outre,  les caractéristiques  pour répondre à ce besoin local.